Découvrez les secrets derrière la conception du Doggy Potty en porcelaine

La Genèse

Qui n’a pas de petits secrets à cacher ? Pas moi, pas vous. Mais on ne vous jette pas la pierre, Pierre.

Le Président de la Alëxone Company, Alëxone Dizac, eut un jour une révélation (cela se passait entre 3h57 et 4h12 du matin, comme souvent) : qu’y a t il de plus précieux que nos secrets ? Pas grand chose... Or, où les cacher, à part dans un écrin au moins aussi précieux ?

La chose était entendue, il fallait créer cet écrin.

Ce seraient les Doggy Pottys, 16 sculptures en porcelaine, moitié doggy, moitié pingouin, toutes peintes à la main de manière unique et réhaussées à l'or fin par Alëxone, chacune s’ouvrant grâce à une casquette amovible sur une cache pour vos secrets les plus intimes...

Suite à la décision du dernier Conseil d'Administration de la Alëxone Company, nous sommes heureux de vous révéler tous les secrets de fabrication du Doggy Potty !

 

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  1. Modélisation & prototypage

La première étape consiste à créer un modèle 3D digital puis l’imprimer en volume afin qu’il serve de modèle pour le moule dans lequel seront coulés et tirés les 16 exemplaires.

Pour cela, nous avons fait appel à un modélisateur 3D, également expert en impression 3D à Paris. Sous la supervision du Président Alëxone Dizac et à partir de ses dessins préparatoires, un prototype digital a ainsi été réalisé puis imprimé en volume.

 

 

  1. Fabrication du moule & coulage

Pour cette partie, la Alëxone Company s'est entourée d'un des meilleurs artistes céramistes parisiens, Pablo Savòn.

Cinq moules ont été réalisés en tout, afin de constituer la casquette et le corps creux du Doggy Potty. Les moules sont réalisés en plâtre et pèsent une dizaine de kilos au total. 

Chaque sculpture est coulée dans ces moules et ensuite retouchée à la main après démoulage, afin de lisser les petites imperfections inhérentes à cette méthode artisanale.

  

  1. Première cuisson

La première cuisson permet de créer le "biscuit" : la porcelaine devient solide et est prête à accueillir la peinture. 

  

  1. Peinture, émaillage et seconde cuisson

Une fois la première cuisson réalisée, la pièce revient entre les mains de notre président Alëxone Dizac, pour l'étape la plus longue et la plus cruciale.

Armé de peinture à engobe, il passe de longues heures dans son atelier à faire des essais et peindre ces biscuits. La complexité dans cette étape réside dans l’impossibilité de prévoir le rendu final exact après seconde cuisson, car cette peinture spéciale porcelaine n’a rien de similaire avec de l’acrylique.

Elle ne ressortira pas de la même couleur après la deuxième cuisson : elle peut être plus puissante et éclatante, tout comme elle peut quasiment disparaitre, elle peut couler, elle peut interagir avec les pigments de la barbotine, elle peut chasser l’émail (on en parle après !), etc…

L’émail est la dernière couche avant la cuisson finale : elle permet d’ajouter une touche brillante et de finition à la porcelaine, qui resterait mat sans.

Voici un avant/après deuxième cuisson pour Doggy Maboule :

 

5. Touche finale : réhausse à l'or fin 

Les Doggys Pottys reviennent une dernière fois dans les mains d'Alëxone dizac, qui y appose délicatement de petites touches d'or fin, pour sublimer définitivement les sculptures.

Une dernière cuisson à basse température, et les Doggys Pottys sont nés !

  

 

Voir les Doggy Pottys